BUPA

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Après une expérience de salariés au sein de l'agence Bernard Bühler (10ans pour Frantz Bühler et 6 ans pour Florent Pasquier), nous décidons en 2010 de nous installer en libéral pour créer le 1er janvier 2013, la S.A.RL. BÜPA. Notre agence, située en plein centre de Bordeaux, se développe sur une superficie de 120 m².

Nous sommes préoccupés par l'impact environnemental des croissances urbaines. L'agence est fortement impliquée dans une logique de développement durable. Cette approche volontariste est plus une question de bon sens qu'une contrainte muselant l'expression architecturale. Anticipée dès la phase d'esquisse, l'approche environnementale et bioclimatique permet de prendre un parti favorisant la fusion entre architecte et environnement. Dans l'étude précise des contextes réside le développement durable libéré de ses fantasmes.

Une agence d'architecture se définit par sa manière d'appréhender, de se nourrir, de la volonté d'une époque pour la traduire en espace et en couleurs. L'architecte superpose les calques de données plus ou moins scientifiques. Il les synthétise pour n'en faire plus qu'un seul dessin au centre duquel l'Homme reste l'invariant.

Notre agence allie créativité et maitrîse des nouvelles technologies comme la vidéo 3D qui permet de visualiser le projet très fidèlement pour les différents acteurs du processus de création (à voir sur notre site notamment la vidéo du grand hôtel de Biscarosse aujourd'hui réalisé)

Année de création :

2013

Site internet :

http://www.bupa.pro/

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Etablissements de l'agence

BUPA

5 RUE MAURICE
33300 BORDEAUX
FRANCE

Département :

Gironde

Projets de l'agence

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Architectes

Grand hôtel de la plage

La côte landaise, Biscarrosse, sa plage, un bloc blanc, un cube, puis une courbe celle de la rotonde associée avec audace à une lame orange, un fanal.   Ce lieu semble quasi hors contexte et pourtant on a la certitude que ce bloc est à sa place. Seul ce bâti sans concession peut prétendre à dialoguer d’égal à égal avec l’immensité liquide.   L’hôtel et restaurant font corps avec l’autour au point qu’ils semblent amarrés. Si l’on découvre le lieu par le restaurant on ne peut s’empêcher de poser la main sur la courbe insensée du bar, de la suivre comme une main courante jusqu’à la salle baignée de lumière mandarine, on est alors projetés dans un volume décalé on flotte dans le doux le ouaté mais ...