JEAN-MARIE PETTES

Ce projet d’habitation s’applique à tirer le meilleur parti d’un terrain sauvage bizarrement enclavé dans le paysage policé d’un parcours de golf. La forme très articulée de la villa peut évoquer le corps de la salamandre et serpente entre les nombreux arbres afin de les préserver. Elle exploite la dualité du lieu et permet une intimité tout en valorisant certaines vues sur le sous-bois et l’étang qui s’invite jusque dans la parcelle. Partout présente, la nature pénètre jusque dans la maison par le jeu des cloisons vitrées mobiles, ce qui rend l’espace très modulable et autorise le bassin à carpes et nénuphars à pénétrer jusque dans les pièces de vie. Les lais horizontaux très tendus de la façade en zinc n...