Les meilleurs projets d'Architecture des Pyrénées-Orientales

Le nouveau bâtiment s'insère entre fort et village. Il reprend le principe d'implantation d'un bastion Vauban. Sa terrasse supérieure offre un parking à l'entrée du fort, dissimulé du village. Ses volumes fonctionnels sont brutalistes en béton, acier et  verre. En périphérie les circulations sont capotées d'une peau de pierre sèche qui inscrit le bâtiment dans son site. L’extension du fort Miradou a été conçue indépendamment au fort. Cette nouvelle structure de trois étages abrite un service de restauration et une antenne médicale. Une terrasse supérieure accueille, de plain-pied, un parking, une aire de retournement et un espace paysagé. En dessous, c’est l’espace cuisine et restauration. A l’étage inférieur se trouve le se...

Le musée d’art de Perpignan, Hyacinthe Rigaud, créé en 1833 est installé en 1979 dans une partie d'un hôtel particulier du centre ville ancien, l'hôtel de Lazerme. Aujourd'hui il s'étend sur la totalité de l'hôtel de Lazerme et sur un autre hôtel particulier contigü, l'hôtel de Mailly, triplant ainsi sa surface. Une restructuration complète des bâtiments a permis d'intégrer les fonctions indispensables à la vie d'un musée moderne tout en préservant les qualités patrimoniales des lieux. Le projet architectural combine restauration et création, ancien et nouveau. Les cours et jardin ponctuent l'ilôt et donnent une "respiration" à l'ensemble muséal. La muséographie développe 3 grands «temps forts» de l’histoire artistique de la ville : le g...

Cet immeuble de bureaux destinés à une étude de notaires et des cabinets médicaux, fait partie d'un ensemble de 3 îlots comprenant des logements en locatif et en accession, un supermarché et une résidence pour personnes âgées.

Située en plein coeur du village Villeneuvois à quelques mètres du Lac de la Raho, une vieille grange laissant apparaitre les traces du passé, sera transformée et rénovée en habitation principale. Il s’agit d’une des premières bâtisses du village à avoir été construite d’où la nécessité de respecter au mieux les caractéristiques intrinsèques de son architecture.  Soucieux de son intégration dans le contexte bâti et historique, le projet cherche à créer un dialogue entre les éléments préexistants, la mémoire du lieu et le language minimaliste de la nouvelle intervention. Les préexistences seront consolidées et conservées. La pierre, la terre cuite, le bois et l’acier présents dans la bâtisse seront réinterprétés sous un aspec...

Derrière leurs habillages inox aux formes ondulantes reflétant le paysage de vignes et de garrigue, les bâtiments cachent des process capables de traiter l’ensemble des déchets produits par le département. 240 000 tonnes sont brûlées chaque année dans l’Usine de Valorisation Energétique et 45 000 tonnes sont traitées et recyclées dans le Centre de Tri. Une plateforme permettant de stocker les 40 000 tonnes de mâchefers produites annuellement vient compléter le dispositif. Le site produit chaque année 43500MWh, soit l’équivalent de la consommation électrique de 23 500 foyers. En collaboration avec l'agence Arsène Henry