Maison de retraite de GY (25)
Description du projet
Maître d’ouvrage Maspa 70
Architectes DPLG Cartignies-Canonica
Bureau d’études AIC CHOLLEY
Etude 2000/2001
Réalisation 2002/2003
Surface HON 2 419 m2
Coût bâtiment HT 2 445 000 €
Coût V.R.D HT Compris
Valeur 2002
Située à la limite du village, elle affirme sa présence tout en dialoguant avec les éléments architecturaux et paysagers qui l’environnent.
La maison prend place au sein d’un enclos de pierre dominé par le château de Gy et ouvert sur la plaine. Le bâtiment épouse la linéarité des courbes de niveau du terrain et s’implante en fond de parcelle en préservant un verger existant. Avec le jeu de pente présent sur le site, l’édifice offre en façade un simple niveau vers le château et deux niveaux vers la plaine, minimisant ainsi son impact visuel depuis la rue.
Notre recherche s’est orientée vers la juste évaluation des dimensions de la chambre pour y permettre la création d’une enfilade de lieux, d’ambiances et d’espaces différents. Au cœur de l’édifice, ponctué par des jardins-patio, se trouvent les éléments de service et de soutien de la vie quotidienne (salles des infirmiers et des médecins, salon de coiffure, etc.) tandis que le grand salon et la salle des repas profitent d’une vision sur le verger.
La maison de retraite sera habitée à partir du mois de mai 2003 par 30 pensionnaires. L’architecture du bâtiment intègre la possibilité d’une extension de la maison à 45 lits, lors d’une prochaine phase de construction.
Architectes DPLG Cartignies-Canonica
Bureau d’études AIC CHOLLEY
Etude 2000/2001
Réalisation 2002/2003
Surface HON 2 419 m2
Coût bâtiment HT 2 445 000 €
Coût V.R.D HT Compris
Valeur 2002
Située à la limite du village, elle affirme sa présence tout en dialoguant avec les éléments architecturaux et paysagers qui l’environnent.
La maison prend place au sein d’un enclos de pierre dominé par le château de Gy et ouvert sur la plaine. Le bâtiment épouse la linéarité des courbes de niveau du terrain et s’implante en fond de parcelle en préservant un verger existant. Avec le jeu de pente présent sur le site, l’édifice offre en façade un simple niveau vers le château et deux niveaux vers la plaine, minimisant ainsi son impact visuel depuis la rue.
Notre recherche s’est orientée vers la juste évaluation des dimensions de la chambre pour y permettre la création d’une enfilade de lieux, d’ambiances et d’espaces différents. Au cœur de l’édifice, ponctué par des jardins-patio, se trouvent les éléments de service et de soutien de la vie quotidienne (salles des infirmiers et des médecins, salon de coiffure, etc.) tandis que le grand salon et la salle des repas profitent d’une vision sur le verger.
La maison de retraite sera habitée à partir du mois de mai 2003 par 30 pensionnaires. L’architecture du bâtiment intègre la possibilité d’une extension de la maison à 45 lits, lors d’une prochaine phase de construction.
Année de réalisation
Surface
2419m2
A propos de l'agence CARTIGNIES-CANONICA-ARCHITECTURE
Présentation
Leur architecture s’attache à la définition de lieux riches en significations, accueillants à la vie ordinaire. Des micro-espaces au territoire, tout le travail de cette agence pourrait se résumer en une perpétuelle gestion de la complexité. Le respect de l’usage, le bien-construire et la recherche du caractère constituent les fondements du travail de Canonica Cartignies. Ce sont ces mêmes valeurs qu’ils enseignent à l’Ecole d’architecture de Nancy et à Strasbourg. (J. Abram)
Activité
Architectes